C’est sur le campus aixois The camp, dans des espaces privilégiés, articulés autour des trois jardins reflétant les pôles d’attractivité mondiaux dédiés à l’innovation, que la quarantaine de « visiteurs » de l’AITF Provence (Association des ingénieurs territoriaux de France, section Provence) ont eu la chance de se retrouver grâce à l’appui de GRDF, partenaire historique de l’association. Ce moment était organisé pour présenter les objectifs de l’association pour cette année en présence de Pascale Verne, présidente de la section Provence, de Karine Chapiteau, la secrétaire générale, et du représentant à la commission Carrière, Rémy Fraysse. « Les nouveaux adhérents ont pu mesurer l’ampleur de l’action que mène l’association nationalement et localement, et de l’intérêt qu’elle porte à la valorisation du cadre d’emploi des ingénieurs et ingénieurs en chef », explique Pascale Verne. 

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« Car les objectifs de l’AITF et de la section Provence sont bien de contribuer à rompre l’isolement des ingénieurs, de les aider à se protéger contre les risques professionnels, mais aussi de constituer un réseau technique d’échanges au service des ingénieurs et 

 des collectivités territoriales, grâce à une actualisation permanente des compétences au travers des travaux de ses dix-neuf groupes de travail thématiques et des activités régionales. » 

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De nombreux rendez-vous en 2018

Ainsi en 2018, la section Provence proposera notamment aux adhérents de nombreuses journées et visites techniques dans les différents  départements. Auxquelles viendront s’ajouter les rencontres nationales et régionales, co-organisées avec le CNFPT (Centre national de la fonction publique territoriale), qui se dérouleront au Corum de Montpellier les 15 et 16 mai 2018 sur la thématique « Transitions et territoires » pour les premières, et pour les 2es Rencontres régionales du management territorial, à l’automne, au sein de Toulon Provence Métropole où les relations entre les sphères publique et privée seront scrutées et débattues en association avec l’AATF (Association des administrateurs territoriaux de France) et le SNDGCT (Syndicat national des directeurs généraux des services des collectivités territoriales).

Article paru dans le Tpbm n°1221